« Je ne suis pas un dictateur », dit en substance Alpha Condé, dix jours avant la présidentielle guinéenne. La polémique fait rage, depuis que le chef de l’État guinéen a décidé de briguer un troisième mandat. En exclusivité sur RFI et France 24, Alpha Condé répond aussi à ceux qui l’accusent d’instrumentaliser les différences ethniques. Et il s’exprime sur le procès qu’on attend toujours, 11 ans après le massacre du 28 septembre 2009. En duplex de Conakry, le président-candidat a répondu aux questions de Christophe Boisbouvier et de Marc Perelman.
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