Les élections pourraient être se tenir cette année, selon la volonté exprimée par depuis quelque temps, par les autorités de la transition. Sur le terrain, les opérations de recensement sont visibles partout notamment à travers les lancement de ces activités par les autorités. Mais pour l’heure, la seule date qui est officiellement connue concernant ces échéances électorales, c’est celle eu référendum, annoncé pour le 21 septembre prochain.
Lors du deuxième congrès national du Parti des Démocratiques pour l’Espoir (PADES ), organisé jeudi, 17 avril, le président de cette formation politique a salué les efforts entrepris par le CNRD depuis son avènement au pouvoir contrairement aux années de gouvernance d’Alpha Condé.
» Nous avons soutenu les premiers efforts également dans le domaine des infrastructures, notamment les routes et la lutte contre la corruption. Pour apprécier cela, il faut savoir qu’en onze ans de pouvoir, le régime déchu n’a pas pu réaliser le tronçons Conakry-Kindia, c’est vrai qu’ils n’ont pas pu le faire, soyons objectifs. Au PADES, nous saluons les efforts de développement de la transition et souhaitons que celle-ci puisse finir dans la paix, la quiétude et dans l’entente avec la classe politique », a-t-il souhaité.
Dans l’opinion, des rumeurs laissent croire que la présidentielle sera organisée avant les autres élections. L’ancien ministre des finances sous Alpha Condé pense c’est une erreur à ne pas commettre.
» Le PADES souhaite que, conformément à la promesse faite par les autorités de la transition, que les élections commencent de la base au sommet. Ce qui pourra faire émerger une nouvelle cartographie politique en Guinée. Mais si jamais, par erreur politique, les élections devaient commencer par les présidentielles, elles risquent d’être violemment contestées par les anciens ténors de la politique guinéenne », a prévenu Dr Ousmane Kaba.
Samuel Demba DUOLAMOU
Commentaires d’articles (0)