Evaluation des partis politique : autour du Parti des Jeune pour le Développement de la Guinée (PJDG) de se prononcer

Des responsables du Parti des Jeunes pour le Développement de la Guinée ont conféré avec la Presse ce mercredi à Conakry. Les discussions ont tournée au tour des résultats de l’évaluation des partis politiques et d’autres sujets liés à l’actualité sociopolitique nationale.

Le Parti des Jeunes pour le Développement de la Guinée figure sur la liste des 75 formations politiques autorisées par le MATD à exercer sur l’ensemble du territoire national. Mamady Ib Kourouma en est le président.

« Le paysage politique de la Guinée avait le mérite et ça se devait, il fallait être courageux pour le faire. Le paysage politique avait besoin d’un assainissement d’un nettoyage ça été fait, au départ il y avait plus de 300 partis et mouvement politique. Au final, aujourd’hui, il y a 75 partis politiques autorisés à exercer sur la scène Guinéenne, et ce qui montre le sérieux. » a salué le président du PJDG avant de décliner ses ambitions pour le pays notamment la Jeunesse.

« En Guinée, tout le monde est dans la nécessité, mais il y a toujours un qui en a plus besoin que l’autre. Donc ce parti mettra en place un revenu minimum de dignité. Donc pour le moment avec nos études, nos économistes qui nous accompagnent, nos experts, nous sommes partis pour la modeste somme 500.000 francs guinéens par famille modeste. » a déclaré Mamadi IB KOUROUMA..

Pour la circonstance, le secrétaire général du PJDG adresse un message à la jeunesse guinéenne. Abdourahamane Tally BAH.

 » Il s’agit d’un appel à l’ensemble des jeunes leaders de Guinée ou que vous soyez. Que vous soyez à Yomou ou dans une sous-préfecture ou dans une commune urbaine rurale, si vous estimez que vous pouvez apporter un tonus à la vie de votre commune le PJDG est prêt à porter votre candidature. » a souligné le secrétaire général du PJDG

Pour se démarquer des autres formations politiques qui se relaient à la maison de la presse, le président du PJDG annonce n’avoir aucune intention de travailler avec le CNRD, en tout cas pour le moment.

Alhassane CONDÉ